Vivre Ici – Traversées sensibles, créations artistiques participatives en Cœur d’Hérault

Vivre Ici – Traversées sensibles, créations artistiques participatives en Cœur d’Hérault

 
Diffusions : le 11 janvier 2022 à 8h30 et 12h30

Au micro : Jean-François Soto, président du pays coeur d’Hérault et Magali Léon Philip, responsable culture, patrimoine et tourisme du pays coeur d’Hérault.

Interview réalisée par Marie Laloum

Projet d’éducation artistique et culturelle

Traversées sensibles est un projet d’éducation artistique et culturelle particulièrement ambitieux, lancé en coeur d’Hérault, pour la saison 2022-2023. Trois résidences de créations artistiques croisées sont accueillies sur le territoire, et font rayonner des actions culturelles en faveur des publics ciblées et des habitants :

  • 31 artistes présents
  • 250 participants amateurs
  • 20 jours de collectes de témoignages et de rencontres
  • 142h d’ateliers de pratique
  • 9 représentations publiques
  • 6 représentations scolaires
  • 10 interventions dans l’espace public

Ce projet est porté en collaboration avec le pays coeur d’Hérault et les communautés de Communes du Clermontais, du Lodévois et Larzac et de la Vallée de l’Hérault, et cofinancé par le programme européen Leader, la DRAC Occitanie et le Conseil Départemental de l’Hérault.

Programmation de Traversées sensibles

Participez aux projets culturels et artistiques

Vivre ici – Salvatjonas, musique occitane entre féérie et sorcellerie

Vivre ici – Salvatjonas, musique occitane entre féérie et sorcellerie

 

Diffusion : Mardi 10 janvier 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Samuel Heyndrickx

Invitées : Les Savatjonas Aelis Loddo et Laurie Alias

Les Salvatjonas vous envouteront lors d’un concert nomade le samedi 21 janvier à Sommières au festival Les Trad’Hivernales dont nous sommes partenaires, soit le grand évènement des amoureux de la musique trad de la rentrée!

Artistes passionnées et engagées, Laurie et Aelis ont intégré cet automne la boîte de production Tradethik dont nous attendons avec impatience les futures trouvailles!

Avec un album en cours de production, plongez dans leur univers via leur nouveau clip : Aval à la pradèla que nous nous faisons une joie de vous diffuser.

Les Concerts Nomades auront lieu à 14h, 15h et 16h avec MÖNG, SALVATJONAS et COURO pour un tarif de 7€.

Présentation officielle :

SALVATJONAS

Il est un pays, entre monts et vallées, où nos racines musicales tendent à l’oubli.
Emportées par une vague folklorique, symphonique et tonale, elles ont perdu de leur modalité.

Du fin fond de leur grotte languedocienne, les salvatjonas (« les sauvageonnes »), sont parties en quête de ces mémoires sonores. Intriguées par les chants des aïeux, leurs couleurs, leurs messages, les petites sauvages décident de se les réapproprier dans le monde
d’aujourd’hui. Et vous invitent à ouvrir vos oreilles, lever le pied, ou pousser la chansonnette, au cœur de leur jardin sonore.

Aelis Loddo
chant, alto, violon, percussions
Laurie Alias
chant, percussions

Dans le Languedoc, de nombreux collectages ont été réalisés laissant entrevoir un répertoire de danses et de chansons très dense et encore peu exploité. Salvatjonas est née de l’envie de partager cet immense patrimoine oral pour le faire
découvrir, redécouvrir et à travers ses chants, créer un pont entre le monde d’hier et celui d’aujourd’hui.

 

Vivre ici – La comédie musicale futuriste des 26000 couverts sur l’éradication humaine

Vivre ici – La comédie musicale futuriste des 26000 couverts sur l’éradication humaine

 

Diffusion : Vendredi 06 et samedi 07 janvier 2023 à 08h30 et 12h30

Animateur : Samuel Heyndrickx

Invité : Gabor Rassov, co-auteur empli d’humanité non éradicable du spectacle Chamonix

La Cie les 26000 couverts remettent le couvert à Sète avec leur dernière production Chamonix mise en scène par Philippe Nicolle et co-écrite avec Gabord Rassov, comédie musicale chorale de l’Espace qui risque fort de vous émerveiller!

Rdv au théâtre Molière de Sète ces vendredi et samedi 06 et 07 janvier à 20h30 pour deux heures de péripéties futuristes renversantes!

Un spectacle programmé en partenariat avec Théâtre le Sillon de Clermont l’Hérault.

Présentation officielle :

Chamonix
Philippe Nicolle – Gabor Rassov – 26000 couverts

Du music-hall au théâtre de salle dans la rue, du mélodrame au théâtre de rue en salle, les 26000 couverts reviennent au TMS en poursuivant leur exploration des formes scéniques populaires.
Ils abordent aujourd’hui les rivages enchanteurs de la comédie musicale pour une plongée vertigineuse dans le futur.
Faut-il oui ou non éradiquer l’espèce humaine ? À travers une série de scènes – musicales ou chantées – les 26000 couverts posent cette question existentielle, en des temps de réchauffement climatique et de virus en forme de couronne.
Parce qu’elle veut danser, chanter, faire l’imbécile dans ce monde trop lourd, la troupe, composée d’artistes polyvalents – comédiens, chanteurs, musiciens, danseurs – emmène le public dans une space opérette kitsch et décalée. Entre la promesse de tableaux grandioses sur l’Histoire de l’Humanité, de réflexions profondes sur le sens de la vie et sa réalisation forcément artisanale, les 26000 nous invitent à réfléchir tout en chantant.

Vivre ici – Karine Escobar et Christelle Eugoné du Tiers Lieu « Chez Louis » à Nissan Lez Enserune

Vivre ici – Karine Escobar et Christelle Eugoné du Tiers Lieu « Chez Louis » à Nissan Lez Enserune

Diffusion : jeudi 22 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invitées : Karine Escobar, Coordinatrice et Responsable du Tiers Lieu « Chez Louis » à l’EHPAD Louis Fonoll de la Croix Rouge Française et Christelle Eugoné, participante depuis les 1ères actions dans ce Tiers Lieu basé à Nissan-lez-Enserune.

 

Ce nouvel espace socio-culturel « chez Louis » est une possibilité supplémentaire pour les habitants de la Domitienne (y compris de la résidence) de se rencontrer autrement dans un lieu différent et pour faire des choses inhabituelles.

Son originalité : il est situé au coeur de l’EHPAD Louis Fonoll Croix Rouge Française et il a vocation de rendre l’EHPAD visible par tous, en même temps qu’il fait entrer un souffle de vie et de lien dans un endroit habituellement tenu à l’écart.
Tout est prétexte à la rencontre ; nous essayons néanmoins de promouvoir le mieux manger (paniers bio bimensuels fournis par croix rouge insertion), le prendre soin de soi (écologie intérieure :
conférences et pratiques du qi gong, sophrologie, biodanza, yoga assis, yoga du rire, comment survivre en pleine nature, … ), le mieux vivre ensemble (ateliers mélangeant les publics), l’inclusion numérique (des ateliers numériques portés par France Services) ; nous envisageons la création d’un jardin potager partagé avec les jeunes mineurs non accompagnés résidents sur le village orienté sur une pratique agricole respectueuse de l’environnement et favorisant la biodiversité,… Est également à l’étude, l’implantation d’une micro crèche.
Nos premières actions ont débuté et ont mélangé « la vie de dehors et de dedans ».
• Des paniers bio et locaux
• Des conférences suivies d’atelier et… d’apéro !
• Des séances d’activités mieux-être (Biodanza, qi gong, …)
• Vide grenier au profit des résidents
Résultats enthousiasmants
• Une fréquentation régulière et mixte : villages alentours, résidents de l’EHPAD, salariés,
hommes & femmes, de 20 à 102 ans, de catégories socio professionnelles diverses.
Prochaines étapes
• Constituer un comité de gouvernance avec des familles de résidents, des habitants de la
communauté de commune, des élus, des salariés et… des résidents
Cette possibilité offerte aux résidents de pouvoir faire comme « avant », et de participer au même
titre que tous à des activités de « l’extérieur » a quelques mois pour prendre vie et ne pas rester
seulement des mots ; alors, il pourra être reproduit sur d’autres EHPAD. Quel défi !
Toutes les bonnes volontés et les bonnes idées trouveront leur place pour lancer la dynamique de
cette nouvelle place du village.

Vivre ici – Tia Souquet et Patrick Lirony réalisateurs du court métrage « Mon combat »

Vivre ici – Tia Souquet et Patrick Lirony réalisateurs du court métrage « Mon combat »

Diffusion : mardi 20 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animatrice : Betty Duffour

Invités : Tia Souquet et Patrick Lirony réalisateurs d’un court métrage « Mon combat » tourné du 2 au 5 novembre 2022 à Montagnac, diffusion prévue en Mars 2023.

 

Vivre ici – Alain Lasverne, Auteur de Sète son recueil de poésies sur la guerre

Vivre ici – Alain Lasverne, Auteur de Sète son recueil de poésies sur la guerre

Diffusion : vendredi 16 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invité : Alain Lasverne est un Auteur de Sète, il vient nous présenter un recueil de poésies sur la guerre.

 

Alain Lasverne est né en 1954, il écrit régulièrement depuis 1989 des nouvelles, des poésies et des romans.
Il a passé sa jeunesse dans le Sud-Ouest, après diverses tentatives en tant que Représentant, Formateur en insertion ou Pigiste pour la Gazette des Communes et autres, il est remonté vers le Nord à l’âge de trente-trois ans pour travailler comme instituteur dans le département des Yvelines.
Cet auteur vient de sortir un recueil de poésies sur la guerre « Si la guerre ne meurt »

Alain Lasverne sur internet

De quoi doit parler la poésie ?

Alain Lasverne
De quoi, de moi, de qui, du vide, de toi, de personne…
La poésie est un langage qui n’a pas à parler. Parler c’est faire chronologie, dialogue, exposé, propos, conférences, insultes, dithyrambe…
Du temps, de se donner le temps, de n’avoir plus le temps. Le temps même de s’entendre, de s’écouter gémir en regardant l’ailleurs des signes. L’ailleurs de la communication, la matière, le réel, la chose qui ne cède pas quand on veut la traverser. La chose qui est moi, et pourtant elle se délite, s’écroule par endroit, mais justement parce qu’elle s’écroule, c’est moi et ça résiste, ça écrit.

D’abord dire que la poésie parle. La poésie utilise les mots et autres fragments de langue pour dire l’aura de la langue, l’au-delà des mots. Au-delà, infra verbal ou ultra-verbal. La poésie traduit les mots.
Si je dis « chapeau », par exemple – pour l’introduire dans un poème et le mettre en relation avec le vent qui emporte tous les chapeaux que nous croyions bien arrimés – l’intention poétique cherchera l’aura du chapeau, qui n’est pas exactement le double sens, les sens accolés au signifié de base, l’objet à mettre sur une tête.
La poésie, à mon idée, détache d’abord le chapeau des chaînes de causalités, de synonymie et autres corrélations à la fois syntaxique et sémantiques habituelles, courantes, obligées.
Le chapeau redevient une matière porteuse, peut-être, d’un sens nouveau et véritable. Nouveau. Le chapeau n’est plus une expression figée « chapeau ! », ou terme d’une expression figée plus large « chapeau l’artiste ! ». Le chapeau reprend une liberté, celle de s’associer, ou pas, librement à d’autres mots, signes, sens.
Véritable. Le poète peut laisser vernir l’aura du chapeau. Le son, le rythme qu’il entend uniquement. Lui et personne d’autre, aujourd’hui, comme hier. Le chapeau lui parle. Lui, parle le chapeau.
Il parlera, quelque chose, montant de son intérieur se fixera sur le chapeau. Ce quelque chose, c’est peut-être l’inconscient, ou des forces limbiques datant d’avant la parole, quand il fallait faire signe de tout son être muet. Très vieux, ou très profond, ou les deux. Et qui vient s’adapter à l’évolution dernière de l’humain, la parole. Ce qui n’est peut-être pas la dernière évolution.
Ce qui importe, à mes yeux, c’est-à-dire ce que je ressens, est une onde de son/sens qui avance en gonflant les mots de ce qui fait leur humanité. Une profération organique, un pas dépourvu de direction. L’artefact poétique est déposé directement depuis le sensible humain, quand ça marche. Il y a tellement de couches à franchir. Toutes les couches déposées par la socialisation. Couches résistantes et en même temps semées, formées de langage, incarnées dans et par le langage.
C’est une lutte pour revenir à la parole, que mène le poète. Une parole en son temps, et au-delà du temps, qui pioche dans les coudes sédimentaires, le biologique trans-générationnel, le culturel historique, et autre chose qui ressort de la magie de la langue en acte, telle qu’elle se déroule dans nos bouches, nos têtes, et se dépasse elle-même dans son propre mouvement.

De quoi, de qui, doit parler la poésie, alors ? Peut-être de la mélancolie. La mélancolie est une passerelle vers quelque chose qu’on regrette alors qu’il n’a pas eu le temps, l’envie, la possibilité d’exister. Il n’y a pas de mots, alors on peut dire, on peut oser dire qu’il y une vraie parole possible.
Vraie, c’est quoi ? Je cherche en ce moment de mon parcours d’écriture, entre autres, les mots pour traduire ce que je suis, sens, vis, après une éternité à courir à côté d’un événement initial majeur pour moi, l’adoption.
Entre impuissance, honte encore, honte toujours d’être sans-famille, même si j’ai eu. Dire cette chose noire qui me projette sans doute pour écrire sur tous les fronts poétiques et romanesques que j’ouvre, c’est entre parler bébé imaginaire et pleurer les familles perdues ou possibles.
La mélancolie n’existe pas. C’est un dossier vide, un applaudissement avec une main.
Je me bats en plein dans la mélancolie. Quelque chose me vient de je ne sais où, loin, un mood issu d’un passé trans-générationnel, et de ma vieillesse annoncée. Un être humain est relié dans le temps et dans l’espace par des fils dont il ne sait ni l’existence ni la solidité. Je suis persuadé de ça, au-delà de tous les récits psycho-généalogiques. Peut-être même que la poésie exprime une sorte de télépathie. Au niveau limbique. Elle parle depuis des millions d’années, peut-être. J’écris ce qui me vient d’une radio branchée sur la continuité humaine depuis les origines.
Je suis désespérément relié. Je n’arrive pas être relié à ce qui ferait lien définitivement, une parole en acte d’airain, des personnes en acier inaltérable. Ma poésie parle de ce moment où je pioche à travers le temps, c’est-à-dire à travers moi-même. Elle parle et j’écris.
Non, c’est faux, naturellement. Je ne ressens rien montant du fond des âges, je ne ressens rien qui soit d’ordre médiumnique. J’écris et les mots viennent parce que j’écris. C’est une histoire simple que d’écrire de la poésie.

Après, il y a les mots, et le choix qui s’avance dès qu’un mot s’annonce. Je l’ai dit, mon territoire c’est la mélancolie. Donc, il est grand. J’ai de quoi dire. Tout est mélancolie, ou presque.
Derrière chaque mot, chaque arrangement avec les mots, il y a un autre mot, un autre arrangement dans l’ombre, ou plutôt dans la lumière. Les doubles parfaits. Réussir, c’est attraper l’original et ce double imaginaire. On le sent, quand il y a prise.
J’ai donné de manière brouillonne ce que contient à peu près ma poésie, ce qu’elle dit, exprime, ramène. Je m’aperçois que je n’ai pas parlé de ce qu’elle doit dire.
C’est idiot comme formulation. N’importe qui peut se cabrer devant cette formule. La poésie ne doit rien, à personne. Justement, elle est poésie parce qu’elle ne doit rien.
De quoi doit parler la poésie, alors. Réponds.
Cette question m’est venue comme ça. J’avais un besoin d’impératif, de choc. Peut-être je succombais à l’envie de secouer les humeurs du lecteur. Non, ça m’est venu comme ça. Quelque chose a dit « doit ». Provocation. Pourquoi ?
Je ne suis pas assuré de ce que j’écris. Si j’étais assuré de mes écrits, je ferais des textes de. Je ne sais pas. Des essais sur des sujets bien « concrets ». Des mathématiques. Je cherche bien souvent à savoir ce que je vais dire qui puisse être dit. Pour moi, pour les autres aussi, malheureusement. On n’écrit pas pour son lecteur, on ne doit pas. L’intégrité, la farouche indépendance de la création doit être préservée. C’est une fiction sacrée.
Je m’oblige, alors. Je me pose une question qui me contraint à trouver ce que je devrais écrire. Et j’écris pour la liberté de l’inconnu qui vient. C’est angoissant d’écrire, c’est exaltant, c’est un moment où on s’oublie parce qu’on est plein de l’écriture comme si elle était soi, une vie de chair, une vie.

Alain Lasverne

Vivre ici – Agathe Catel, Artiste Chanteuse, installée en Pays Cœur d’Hérault

Vivre ici – Agathe Catel, Artiste Chanteuse, installée en Pays Cœur d’Hérault

Diffusion : jeudi 15 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invitée : Agathe Catel, artiste chanteuse, musicienne, auteure, compositrice, interprète, Photographe.

 

Agathe Catel, est Artiste Chanteuse. Installée en Pays Cœur d’Hérault, en Mars 2022 elle venait nous présenter son nouveau Clip « Les adieux à l’enfance » aujourd’hui c’est son dernier titre qu’elle nous propose « O Instante » qui sort le vendredi 16 décembre ainsi que le titre « O Caminho » qui a été signé par le label Putumayo World Music et sera distribué partout.

 

Son site internet

dernière publication sur sa page Facebook

Également celui-ci qui sera sur l’album à paraître:

Mon titre « O Caminho » à été signé par le label Putumayo World Music et sera distribué partout dès le 16 décembre en même temps que mon titre « O Instante »
J’ai été sélectionnée par « Voix du Sud » et fais désormais partie du spectacle « Une nuit en Astaffort » qui tournera cet été.
Agathe Catel.

Vivre ici – Extrémités ou l’équilibre instable de nos belles fragilités

Vivre ici – Extrémités ou l’équilibre instable de nos belles fragilités

 

Diffusion : 08h30 et 12h30

Animateur : Samuel Heyndrickx

Invité : Yann Ecauvre, directeur artistique du Cirque Inextremiste

Venez frissonner d’angoisse avec les circassiens du spectacle Extrèmités où acrobaties et bonbonnes de gaz vont fusionner au sein d’un espace vétuste, instable et décalé, où les athlètes, dont un tétraplégique, vont devoir trouver leur point d’équilibre pour ne point chuter.

De la fragilité naîtra la beauté…

Rdv à la salle Ramadier de Lodève le vendredi 16 décembre, à 20h30.

Pour ne point vous faire surprendre, pensez à réserver auprès de Résurgence.

04 67 44 24 60
resurgence@lodevoisetlarzac.fr

Présentation succincte et officielle :

Pour faire court :
Bim, Bam, Boum sont en équilibre.
Bim tombe.
Qui reste-t-il ?
Personne !
Si Bim tombe, tous tombent !

Extrêmités est une création collective du Cirque Inextremiste
Interprètes : Yann Ecauvre, Rémi Lecocq et Rémi Bézacier (ou Sylvain Briani-Colin)
Best regards : Stéphane Filloque / François Bedel
Scénographie : Julien Michenaud, Sébastien Hérouart et Michel Ferandon
Création lumière : Sébastien Hérouart
Régie : Jack Verdier ou Julien Michenaud

 

Vivre ici – Bruno Houlès et Alexandra Palacio de la Scène de Bayssan à Béziers

Vivre ici – Bruno Houlès et Alexandra Palacio de la Scène de Bayssan à Béziers

Diffusion : mardi 13 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invités : la Scène de Bayssan avec Bruno Houlès, Directeur Général et Directeur Artistique ainsi que Alexandra Palacio, Chargée des relations publiques.
Le Festival Noel Al-Andalus aura lieu du vendredi 16 au dimanche 18 décembre à la Scène de Bayssan basée à Béziers.

 

Voici des extraits des spectacles du « Noël Al Andalus » du vendredi 16 au dimanche 18 décembre à la Scène de Bayssan à Béziers.

Le comte de bouderbala :

 

Ali Khattab – Olé Umm Kulthum :

Jihade Darwiche :
Captation Jihad Darwiche – Contes pour enfant – Festival Arabesques 2021 – YouTube

Vivre ici – Calou et Denis du groupe Les Barbeaux

Vivre ici – Calou et Denis du groupe Les Barbeaux

Diffusion : vendredi 9 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invités : Calou, auteur, compositeur, interprète, accordéoniste et Denis, artiste musicien (Basse, contrebasse).

 

Barbeaux Bankers ! A vos marques !

­Parce qu’après cette pause imposée, la force et la vitalité se démasquent, telles une éruption incontrôlable. Et c’est dans un nouveau souffle que Les Barbeaux ont voulu affirmer une soif de vivre, libre. Ce n’est pas vraiment une chanson ou un album mais une revendication, une affirmation, une détermination : On est vivant, bordel !

♦ On y trouve quoi dans ce 7ème album ? ♦

Evidemment, l’amour ; évidemment l’Espagne ; évidemment la fête… mais sans concession. Passant de l’aveu en trois temps d’un amour contrarié, sur lequel on danse sans arrière-pensée à un poème aux parfums de barricades, l’amour et la révolte se côtoient dans cet album avec de nouvelles envolées de cuivres qui plantent le décor.
Un parfum d’Espagne sauvage avec ce qu’il faut de soledad et de rébellion ; mais aussi les brumes fraîches des montagnes des Balkans et leur nostalgie un brin gipsy, en passant par du gros son qui bascule sur du chicano… une aventure sans frontière, comme le dernier pavé dans la mare d’un révolté. Du Barbeaux inédit en quelque sorte…

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