Diffusion : jeudi 13 octobre 2022 à 08h30 et 12h30
Animateur : Jean-Pierre Fonollosa
Invité : Frédéric Feu est Médiateur Scientifique, Conférencier, il nous annonce des rencontres ce jeudi 13 octobre à la Halle Dardé de Lodève dans le cadre de la 31e fête de la Science.
Invité : Bertrand Schatz, écologue, UMR CEFE, CNRS, Montpellier
Diffusion: vendredi 3 juin 2022 à 10h00
Re-diffusion: dimanche 5 juin 2022 à 19h15
Animation : Alix Audurier-Cros
Nous recevons Bertrand Schatz, chercheur au CEFE (Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive), du CNRS (Centre national de Recherche Scientifique) à Montpellier. Après avoir rappelé sa formation et comment il est devenu chercheur, Bertrand Schatz aborde les problèmes actuels des abeilles, notamment la diminution de sa population : l’abeille domestique, celle qui est élevée par les apiculteurs pour produire du miel, mais surtout les abeilles sauvages (800 espèces); toutes ces espèces sont des insectes pollinisateurs. En particulier, il cite l’abeille noire –une abeille domestique- et les ruches troncs, patrimoine apicole des Cévennes.
Ensuite, de l’abeille, il passe aux insectes pollinisateurs en général ; il nous décrit son travail sur l’écologie de la pollinisation et l’évolution des interactions entre les plantes et les insectes et la conservation de ces communautés plantes et insectes. La pollinisation est nécessaire à la production agricole mais aussi au maintien de nombreuses espèces végétales dans le monde entier. On peut citer par exemple, les orchidées sauvages de la zone méditerranéenne, étudiées par Bertrand Schatz.
La pollinisation n’est pas assurée uniquement par les abeilles mais par beaucoup d’autres insectes et d’autres animaux. Directeur du projet Pollinéco, il rapporte le constat de la perte de 40% des insectes en Europe, ce qui devient une menace pour la production agricole et le maintien de la biodiversité. Il insiste sur les résultats obtenus et la nécessité de mettre en œuvre des mesures conservatoires dans un premier temps et pour le plus long terme, des changements de pratiques non seulement agricoles mais aussi de notre comportement quotidien habitant de cette planète terre.
Ameline Lehébel-Péron, Daniel Travier, Alain Renaux, Edmond Dounias et Bertrand Schatz, « De la ruche-tronc à la ruche à cadres : ethnoécologie historique de l’apiculture en Cévennes », Revue d’ethnoécologie, 2016, mis en ligne le 01 juillet 2016, consulté le 01 juillet 2016. URL : http://ethnoecologie.revues.org/2531 ; DOI : 10.4000/ethnoecologie.2531
Marie GIRAUD, paysanne, les Semeurs du Lodévois – Larzac
Diffusion: le vendredi 4 février 2022 à 10h00
Re-diffusion: le dimanche 6 février 2022 à 19h15
Animateurs: Hubert de Bon et Alix Audurier-Cros
Technique: Axel
Nos deux invitées Elisa Taschen, chercheuse, et Marie Giraud, paysanne, productrice de semences dans les Hauts Cantons de l’Orb au Bousquet d’Orb, vont expliquer comment après des parcours professionnels très différents, elles se sont rapprochées pour travailler ensemble sur l’oignon de Tarassac. Productrice maraîchère depuis plus de 40 ans en agriculture biologique, Marie a toujours porté un soin primordial au sol. Suite à une conférence d’un chercheur, elle a découvert que parmi tous les organismes du sol, les champignons du sol jouaient un rôle essentiel dans le développement des plantes. Elisa a fait son travail de thèse sur la truffe, champignon souterrain.
Avec une équipe rassemblant chercheurs et paysans, elles ont participé à un projet de recherche collaborative: objectif, moyens, observations au champ et au laboratoire ont été définies ensemble et réalisés fidèlement suivant le protocole. Il s’agit de comparer les effets des modes de culture et des modes de sélection sur les aptitudes des variétés d’oignons à utiliser les champignons du sol qui vivent en symbiose avec les racines des plantes, les mycorhizes. L’oignon de Tarassac, variété sauvée par les Semeurs du Lodévois-Larzac il y a plusieurs décennies, cultivé depuis en agriculture biologique est comparé à des oignons sélectionnés en culture conventionnelle avec engrais et pesticides chimiques. Chercheuse et paysanne insistent sur la nécessité de développer des collaborations étroites et équilibrées entre recherche et production agricole, pour répondre aux enjeux actuels de la transition écologique en agriculture.
Les endomycorhizes, filaments et arbuscules d’une racine d’oignon vue au microscope (sur la photo, ce sont les petits amas violets dans les cellules, les cellules ayant une forme rectangulaire).
Racines d’oignons à l’issue de la pépinière.
Pour en savoir plus:
Marc-André Selosse. 2017. Jamais seul. Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations. 437 pp
Invités: Mathieu THOMAS, généticien et chercheur, CIRAD et Yves GIRAUD, producteur de semences, les Semeurs du Lodévois – Larzac
Diffusion : vendredi 7 janvier 2022 10h00
Re-diffusion: dimanche 9 janvier 2022 à 19h15
Animation : Alix Audurier-Cros et Hubert de Bon
Pour parler de la biodiversité cultivée, nous avons invité deux personnes avec des parcours professionnels très différents, un chercheur du CIRAD, basé à Montpellier en génétique des populations, Mathieu THOMAS, et un producteur de semences Yves GIRAUD, producteur de semences au Bousquet d’Orb, des Hauts Cantons de l’Hérault, membre de l’association les Semeurs du Lodévois – Larzac.
Mathieu THOMAS en expliquant son parcours de la génétique à l’analyse des réseaux, montre que l’étude de la biodiversité cultivée implique plusieurs disciplines -anthropologie, ethnologie, statistique…- que ce soit dans un pays d’Afrique ou dans le sud de la France. Yves GIRAUD s’est orienté vers la biodiversité quand il s’est rendu compte que les variétés qu’il souhaitait cultiver,n’étaient pas disponibles dans les catalogues des maisons semencières habituelles. Il a donc décidé de produire ses variétés, dont plusieurs appartiennent au patrimoine local, en découvrant au fur et à mesure les contraintes techniques et administratives que cela entraînait. Il a ainsi mis en évidence l’enjeu des semences paysannes.
Pour que paysans et chercheurs travaillent ensemble, les invités démontrent la nécessité d’un partenariat étroit où les protocoles sont décidés ensemble.
Au total, la protection de la biodiversité cultivée (oignon de Tarassac, laitue Mouchetée de Salasc) doit être vivante au rythme des saisons, des milieux et des variations du climat. Elle nécessite un travail collaboratif, de nombreux acteurs et la persévérance des communautés paysannes.
Pour en savoir plus:
Giraud Y. 2018. De l’oignon de Tarassac, semence paysanne. Semeurs du Lodévois-Larzac. BEDE, RSP, 94 pp
Jeudi 29 avril 2021, à 19h15. Rediff. Samedi 1er mai, à 15h.
Invités :
Hervé Le Goff, océanographe résidant au Pouget, ingénieur de recherche au CNRS
Elin Chiche, océanographe résidant en Norvège, enseignante-chercheuse, sont les invités
Extrait du roman-photo Ninja goes south, d’Elin Darelius-Chiche, retraçant l’expédition scientifique de manière humoristique (lien ci-dessous). Ici la calotte polaire qui recouvre le continent Antarctique. DR.
Hervé Le Goff et Elin Chiche ont participé, en février et mars 2021, à une expédition de deux mois, à bord duPolarstern, un navire brise-glace allemand, en Antarctique.
Les auditeurs de RPH Sud et Radio Pays d’Hérault ont pu suivre leurs aventures à travers les chroniques hebdomadaires d’Hervé Le Goff, « Antarctique : carnet de bord d’un océanographe ».
Emission finale jeudi 29 avril 2021
Ils seront les invités d’une émission spéciale, diffusée jeudi 29 avril 2021, à 19h15, sur les antennes de Radio Pays d’Hérault (102.9 et 96.7 FM) et RPH Sud (89). Elle sera rediffusée samedi à 15h.
Ils reviendront sur leur expédition scientifique, les résultats et sur l’état du continent Antarctique, un régulateur puissant du climat mondial.
Roman-photo et chroniques
Biologie, physique… Les deux océanographes, spécialistes des milieux polaires, ont abordé toutes sortes de discipline.
Aujourd’hui, nous approfondissons un thème agricole présent dans les médias depuis une vingtaine d’années: l’agroécologie. Ce mot est à la fois très utilisé, mais aussi l’objet de nombreuses controverses. Aussi, nous accueillons un agronome du Cirad, spécialiste de l’agroécologie, Patrick Dugué, qui va nous parler de cette nouvelle discipline et de ce qu’elle implique pour notre vie de tous les jours, notamment en Cœur d’Hérault.
Son parcours professionnel l’a conduit en Afrique du Nord et en Afrique Sub-saharienne, régions où les gestions de l’eau et de la fertilité des sols sont les deux piliers de l’agronomie. L’agroécologie dont le mot remonte aux années 30s, repose sur 4 principes: le recyclage des déchets organiques, la diversité des cultures et des activités dans la ferme (agriculture-élevage), l’association des espèces cultivées, la lutte contre le gaspillage de l’eau. P. Dugué précise le débat qui existe entre les partisans d’une agroécologie limitée à la production agricole en elle-même et ceux d’une agroécologie incluant la dimension sociale. Avec l’exemple du pays Serer au Sénégal, il définit plus concrètement les composantes de cette agriculture complexe qui prend en compte les limites des écosystèmes où elle est mise en oeuvre. Il insiste sur le fait que ce type d’agriculture est encore peu développée en Europe. Le dernier rapport du GIEC (Groupe international d’experts sur l’évolution du climat) et celui de la Convention citoyenne pour le climat en France mettent en avant son importance pour lutter contre l’émission des gaz à effet de serre et donc le changement climatique. Notre invité reste optimiste pour le développement de cette agriculture notamment dans l’agriculture méditerranéenne qui peut nous aider à diminuer notre impact négatif sur l’environnement.
Faidherbia albida associé au cotonnier au Cameroun
Invité: Hervé Le Goff, océanographe et climatologue
Diffusion: vendredi 1 janvier 2021, 10h00
Re-diffusion: dimanche 3 janvier 2021, 19h15
Animateurs: Alix Audurier-Cros et Hubert de Bon
A bord de la goélette Tara dans l’Arctique entre Sibérie et Groenland.
Nous accueillons Hervé Le Goff, chercheur au CNRS, océanographe et climatologue pour nous donner quelques explications sur les changements climatiques passés et actuels. Ses observations de terrain dans les régions polaires et en Méditerranée contribuent à expliquer les causes du réchauffement climatique actuel. Il étudie la fonte de la banquise arctique au pôle Nord et la dynamique des glaces côtières du continent antarctique au pôle Sud. En mer Méditerranée, il collabore à l’observatoire permanent du Bassin Nord-Ouest, bordé par la France, l’Italie, l’Espagne et le Maghreb. Les mesures auxquelles il participe, mettent en évidence le réchauffement et l’acidification rapides des couches superficielles de la Méditerranée, les modifications des courants et la pollution de la chaîne alimentaire par les microplastiques. Comme de nombreux chercheurs de nombreuses nationalités, ses résultats contribuent aux rapports du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) notamment le dernier rapport sur les océans et la cryosphère (les glaciers et les banquises). Ces rapports sont portés régulièrement à la connaissance du grand public pour alerter sur le futur climat de la Terre. Ils montrent par plusieurs modèles confrontés les uns aux autres, que la température de notre planète augmente inexorablement depuis le milieu du XIXé siècle. Ils constituent une des bases des grandes réunions internationales comme la COP 21. A Paris, en 2015, l’accord signé par plus de 100 chefs d’Etat vise à limiter l’élévation de température au maximum à + 2°C d’ici l’an 2100. Si le réchauffement est plus important cela se traduira pour nous, habitants de l’Hérault, par une augmentation du niveau de la mer avec des conséquences désastreuses comme l’inondation permanente des zones littorales (notamment l’aéroport de Montpellier-Fréjorgues et la gare Montpellier Sud de France) et l’accroissement en fréquence et intensité d’événements extrêmes tels que les canicules et les épisodes cévenols.
Installation dans le Golfe du Lion d’un instrument de mesure de la température et la salinité à 2300 m de profondeur
Zad de Saint-Victor-et-Melvieu. Photo : Robert Martin/RPH.
L’actualité locale :
Journal local
Notre-Dame-des-Landes reste la plus connue des ZAD, trois lettres qui signifient Zones à défendre, le symbole des luttes contre de grands projets industriels. Plus près de nous, dans le Sud Aveyron, la ZAD de Saint-Victor-et-Melvieu, se bat contre un projet de transformateur électrique de près de 5 hectares. Un véritable petit village s’est monté sur place pour empêcher ce projet de voir le jour. Radio Pays d’Hérault s’est rendu sur place… Un reportage de Robert Martin.
Le Zoom Infos du mercredi 13 février
Photo de profil Facebook des Amis de Frontregeire, école Maris Louise Dumas, de Marseillan, le 13/02/19.
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce Zoom infos, La mini-crèche de Loiras rencontre des soucis financiers. Une cagnotte en ligne a été ouverte pour l’aider. A Marseillan, des parents d’élèves se mobilisent contre la suppression d’une classe. Une première étape a été franchie pour l’intégration de Lodève au Parc naturel régional des grands causses. Le comité de soutien au cinémistral organise une marche pour soutenir un projet de miniplexe à Frontignan. Et sept déchèteries du centre Hérault ferment leurs portes demain, pour cause de formation.
La crèche des Boskinous accueillent une dizaine d’enfants à Loiras, dans la commune du Bosc. Cette micro-crèche fête ses onze ans d’existence. Mais la structure rencontre des soucis financiers. Le nouveau bureau, élu en fin d’année passée, admet avoir rencontré des difficultés pour payer les salaires de ses six salariés. Des parents se sont mobilisés. Une cagnotte en ligne a été ouverte, comme l’explique Alain Carles, président de la microcrèche des Boskinou.
A Marseillan, près d’Agde, ce sont les parents d’élèves de l’école Marie-Louise Dumas, qui se mobilisent pour leur établissement. La suppression d’un poste d’enseignant et d’une classe serait prévue à la rentrée prochaine. Les parents d’élèves (…) prévoient d’occuper l’école demain jeudi, à partir de 8h30, selon un appel passé sur leur page Facebook. Leur pétition a recueilli plus de 570 signatures en trois jours.
Un comité de soutien au CinéMistral de Frontignan est né en janvier dernier. Il organise une marche, samedi prochain, à 10h, au départ du CinéMistral. Cette marche vise à soutenir le projet de création d’un multiplexe de 6 salles, ou miniplexe, à Frontignan. Pour rappel, la Ville de Sète a posé deux recours contre ce futur miniplexe, pour proposer un elle-même un projet de cinéma sétois. Si ces recours sont validés, le projet de Frontignan pourrait être annulé.
Le Zoom Infos du mardi 12 février
Le Mammobile à Clermont-l’Hérault.
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire : le Mammobile, le centre de dépistage itinérant du cancer du sein, s’arrête dans plusieurs villes du Cœur d’Hérault cette semaine. Des situations irrégulières ont été relevées sur des chantiers du centre-ville de Sète. Aniane est candidate au contrat Bourg centre lancé par la Région Occitanie. Et l’Hérault expérimente le pass culture, depuis le début du mois.
Depuis 1990, le Mammobile sillonne le département pour proposer des dépistages gratuits et sans rendez-vous du cancer du sein, pour les femmes âgées de 50 à 75 ans. Cette semaine, le semi remorque rose de l’Association Montpellier-Hérault pour le Dépistage du Cancer du Sein est dans notre secteur. Il s’est garé à Clermont-l’Hérault lundi 11 février 2019. A son bord, deux manipulatrices et un médecin accueillent les femmes concernées dans la bonne humeur, avec un matériel de pointe. Chaque jour, une cinquantaine de femmes entrent dans le camion pour un dépistage du cancer du sein. Nous avons recueilli les impressions de plusieurs habitantes de Clermont et des alentours, hier.
Bonjour et bienvenue sur Radio Pays d’Hérault dans l’émission Bonne ou Mauvaise Graine pour ce deuxième volet scientifique avec les lycéens d’Auguste Loubatières à Agde. Je m’appelle Deryne et je vais vous présenter le thème de l’Intelligence artificielle avec plusieurs de mes camarades de classes. Le titre de l’émission d’aujourd’hui est « L’intelligence Artificielle : progrès ou danger ? Je serai accompagnée de Raphaël qui fera un point historique, Wassim et Arthur en en ce qui concerne le domaine de l’économie et de la société, Jérémy et Lucas pour l’aspect science-fiction et enfin Stéphane qui terminera cette émission en nous parlant des points de vue actuels.
IA, sont deux termes de plus en plus utilisés dans les domaines scientifiques mais aussi dans la vie quotidienne. Que ce soit dans les téléphones portables ou sur les sites comme Facebook, l’IA commence à entrer progressivement dans nos vies. L’IA, c’est le dossier du jour sur lequel l’équipe se penchera. Nous évoquerons les plus grands aspects de cette immense et peut-être même, terrifiante invention.
Diffusion : mercredi 7 mars 2018 à 13h
Rediffusion : jeudi 8 mars à 20h
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur Radio Pays d’Hérault, une alternative à l’uniformisation de la bande FM. Je m’appelle Julien, je suis élève de terminale scientifique au lycée Auguste Loubatières d’Agde, et je vais vous présenter, en compagnie de quelques camarades de classe, le premier volet d’une série de trois émissions animées par les élèves de notre classe et visant à nous interroger sur des thématiques scientifiques diverses.
Sans plus tarder, entrons dans le vif du sujet avec le titre de l’émission d’aujourd’hui : « Toutes les ondes que j’aime ». Vous vous en doutez certainement, le thème de notre réflexion sera centré autour des phénomènes ondulatoires.
Mais alors, qu’est-ce qu’une onde ? Ce phénomène, souvent méconnu, suscite parfois des questionnements, voire des craintes. Nous accueillerons tout à l’heure Jules, qui illustrera les ondes à l’aide de phénomène naturels observables dans votre vie quotidienne. Et les réactions de lycéens au micro de Réda.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.