Nicolas Jules
diffusion : lundi à 7h40 et 18h40
Chaque lundi on démarre la semaine en musique avec Jean Montussac qui nous propose son CD de la semaine
Tous les jours, dans les matinales à 7h40 vous pourrez écouter un titre de cet album
Nicolas Jules
diffusion : lundi à 7h40 et 18h40
Chaque lundi on démarre la semaine en musique avec Jean Montussac qui nous propose son CD de la semaine
Tous les jours, dans les matinales à 7h40 vous pourrez écouter un titre de cet album
Être vent debout
diffusion : les mercredis à 8h45
rediffusion : à 18h40, le même jour
Une rencontre proposée par Jean Montussac pour décoder quelques unes de nos expressions qui viennent si joliment imager nos conversations et nos écrits.
Vendredi 8 mars – de 18h à 1h – RPH s’est installée au bar/brasserie Lodeva de Lodève avec expo d’artistes, plateau radio et Dj’s Set.
Le plateau a été animé par Löhr, peintre, et Agosta de l’émission « Sur les chemins d’Olympe…de Gouges évidemment » (https://www.rphfm.org/…/sur-les-chemins-dolympe-de…/) en compagnie de Samuel Heyndrickx.
On a parlé de la place des femmes dans l’art, le sport, la BD et les mangas, …
Aujourd’hui, où en est-on ? Et localement, qui fait bouger les choses ?
Retrouvez au micro :
Big up à Julie Pètre pour son travail de sculpture en fil de fer autour de « Les mamelles de Tirésias » avec Löhr Cipolat
Francis Fourcou
Après l’École Nationale Louis Lumière, il réalise des documentaires, puis ses premières fictions et assiste des réalisateurs comme Peter Watkins ou Jacques Rozier.
Il a distribué une douzaine de films, dont le premier film d’Almodovar sorti en France, Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?, ou encore Le Sixième jour de Youssef Chahine et Punishment Park de Peter Watkins.
Avec sa société Ecransud, il souhaite enraciner une production cinématographique et audiovisuelle en Midi-Pyrénées. Il produit donc son premier long métrage, La Vallée des montreurs d’ours, qui remporte le Grand prix du festival du film de Montagne en 1997. Il réalise ensuite J’aime la vie, je fais du vélo, je vais au cinéma en 2005, puis en 2015 Laurette 1942, une volontaire au camp du Récébédou, fiction sur les femmes résistantes dans les camps français, et Serge Pey et la boîte aux lettres du cimetière, deuxième volet de l’exil républicain sorti en salles en 2018. En 2023, il réalise son 6e long métrage documentaire, Un pont au-dessus de l’océan, l’histoire de deux voyages en miroir en terres occitane et osage.
Diffusion : mercredi 28 février à 9h30 et 18h20
Une interview réalisée par Betty Duffour
Arthur H est en concert à La Cigalière de Sérignan vendredi 1er mars 2024.
Fils de Jacques Higelin et héritier musical d’artistes poètes, comme Serge Gainsbourg, Arthur H rappelle aussi la rythmique sensuelle et mélodieuse des Doors.
Sa voix râpeuse et suave nous a emmené si souvent déjà sur des chemins d’Étrangeté fantasque, de poésie boxeuse et impertinente en démêlé avec des histoires, nos histoires, son histoire.
Aujourd’hui ce timbre désormais si reconnaissable du répertoire français, se fait l’instrument d’une véritable ode à la vie, puissante et universelle.
Arthur H et son vibrato lyrique fait résonner nos tripes mises en déroute par tant de déconvenues autour de nous, pour mieux entendre l’écho de notre océan intérieur.
Au fil des titres de ce 17eme album, cet alchimiste des mots nouveaux et sans cesse renouvelés vient nous susurrer à l’oreille le réveil de notre âme. Une douceur symphonique, quasi cosmique et enchanteresse mais toujours assez piquante pour ne pas oublier… de vivre.
Nous recevons aujourd’hui dans notre magazine vivre ici ce chanteur poète exquis, jusque-là troublion, qui se révèle dans ce dernier opus d’une sagesse somptueuse, presque divine.
Antoine Page a fait des études d’Histoire de l’Art et de cinéma à la Sorbonne. Il y réalise ses premiers films dans une veine expérimentale. Il poursuit ses recherches formelles dans le genre du documentaire de création avec Cheminement et Largo do Machado. En 2009, il quitte Paris pour le Jura, et s’installe dans l’ancienne « Maison du Directeur » d’une usine de carton. Là, il monte la société de production du même nom avec deux associées. Il réalise dans ce contexte trois nouveaux documentaires : Yolande, Maria, Berthe et les autres, Chalap, une utopie cévenole et C’est assez bien d’être fou, avec le street artiste Zoo Project. En 2014, pour laisser venir les sujets sans forcer les évènements, il tire au hasard le nom d’une ville. Il y rencontre plusieurs adolescents sur une place. Plusieurs documentaires naissent de cette rencontre fortuite, regroupés sous le titre Wesh Gros. En parallèle, il fait de la Maison du Directeur un lieu de création et de résidence, dédié à des artistes indépendants, soucieux de travailler en toute liberté.
Jung est le pseudonyme d’un artiste qui a en fait deux autres noms. Son vrai nom d’origine est Jung Sik-jun. Il est né en 1965 à Séoul. Mais il raconte être né une seconde fois, lorsqu’à l’âge de cinq ans, un policier l’a recueilli alors qu’il errait dans la rue, affamé et solitaire. Adopté par une famille belge en 1971, il prend alors pour nom d’adoption Jung Henin. Et il est même né une troisième fois en devenant auteur illustrateur de bandes dessinées sous le simple nom de Jung.
Après avoir démarré dans les magazines Spirou et Tintin, il publie sa première BD en 1991, Yasuda. En 2007, il se lance dans l’écriture de Couleur de peau : miel, une série de BD autobiographiques en quatre volumes, dont le premier récolte de multiples prix. Il co- réalise avec Laurent Boileau l’adaptation de ce récit pour le cinéma. Le film sort en 2012 au festival d’Annecy et connaît un beau succès en salles à travers le monde, maintes fois récompensé en festivals. C’est une référence incontournable dans la grande communauté des adoptés et des adoptants.
Jung a un étonnant parcours de vie, fait de virages et de bifurcations, de voyages et d’impasses, de rencontres et d’abandons, qui l’a conduit à s’intéresser particulièrement au sujet de l’adoption. Ce que confirme encore son dernier roman graphique (en collaboration avec Laëtitia Marty) : Nos adoptions (Delcourt). Et son nouveau film : Tout ce qui nous relie.
Emmanuelle Millet cultive une passion pour l’écriture et la réalisation au service de sujets qui questionnent la société. C’est ainsi qu’après avoir accompagné la communication de France Terre d’Asile, Médecins du Monde, Handicap International et d’autres associations, elle a réalisé pour le Secours Populaire une série de trois documentaires sur le thème La culture, ça change la vie.
Elle est par ailleurs à l’initiative d’une collection de dix courts-métrages contre les violences conjugales diffusés sur Arte. Lauréate du concours de courts-métrages contre les discriminations organisé par le CRIPS, elle a aussi adapté pour le cinéma Le Message, du roman d’Andrée Chédid. Elle a depuis écrit d’autres scénarios de
longs-métrages dont La Brindille, qui lui a valu le prix du meilleur premier long-métrage au Festival de Rome et une nomination aux César pour la comédienne Christa Théret.
diffusion : mardi 20 février à 19h12 et mercredi 21 à 10h
Il présente pendant la Rencontre Cinéma de Pezenas cinq de ses films (un court-métrage, trois long-métrages de fiction, un documentaire).