Histoires de sieste…ou pas – Renard et petit Georges – Thibault Prugne

Histoires de sieste…ou pas – Renard et petit Georges – Thibault Prugne

 

Diffusion : lundi 6 février 13h

Rediffusion : dimanche 12 février 10h30

 

Illustration renard et petit Georges

Renard et petit Georges – Thibault Prugne

Renard est futé.

Il n’a pas son pareil pour chasser les mulots…et les manger!

Jusqu’au jour où son cœur pourrait être plus grand que son appétit…

Voyons comment et grâce à quoi!

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur –
Editions Margot – 2022
Lue par Taïana alias Mamie Nana

Histoires de sieste…ou pas – Le Petit hérisson partageur

Histoires de sieste…ou pas – Le Petit hérisson partageur

 

Diffusion : lundi 16 janvier 13h

Rediffusion : dimanche 22 janvier 10h30

Illustration le petit hérisson partageur

Le petit hérisson partageur – Zemanel

Un hérisson, une pomme bien ronde et quelques amis pour renifler ce bon repas.

Découvrez cette jolie histoire tendre, croquante et invitant à une belle générosité… partagée.

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur Zemanel .

Editions Père Castor – 2010

Illustrations : Vanessa Gauthier

 

Histoire lue par Nadège Barcelo

Habillage sonore par Laureen Naud

Histoires de sieste – Les yeux du fleuve

Histoires de sieste – Les yeux du fleuve

 

Diffusion : lundi 2 janvier 2023 à 13h

Rediffusion : dimanche 8 janvier à 10h30

 

Les yeux du fleuve

Les yeux du fleuve

Qui est ce mystérieux personnage ?

Pourquoi se cache-t-il sous l’eau avec autant de précautions?

Est-ce un gentil ou un méchant ?

Découvrez l’histoire simple d’une amitié inattendue !

 

 

Création originale imaginée, illustrée et lue par Taïana Charmianger, alias Mamie Nana.

Illustration à l’aquarelle réalisée par Taïana Charmianger.

Histoires de sieste…ou pas : Le Petit Père Noël rouge de Muriel Zürcher

Histoires de sieste…ou pas : Le Petit Père Noël rouge de Muriel Zürcher

 


Diffusion : lundi 19 décembre – 13h

Rediffusion : dimanche 25 décembre – 10h30

 

Le Petit Père Noël rouge

Au détour du folklore traditionnel, la forêt des contes se livre ici à de surprenantes péripéties, au travers desquelles nos habituels protagonistes loup et mère-grand vont finalement découvrir la magie de Noël. ✨

Avec l’aimable autorisation de son autrice Muriel Zürcher et de son éditeur « Lire c’est partir » que nous remercions ici vivement.

Illustrations : Déborah Mocellin

Publié en septembre 2010

 

Lecture par Betty Duffour

Habillage sonore par Laureen Naud

 

Et pour aller plus loin :

L’autrice : https://murielzurcher.com

Les éditions  : www.lirecestpartir.fr/

 


 

Vivre ici – Alain Lasverne, Auteur de Sète son recueil de poésies sur la guerre

Vivre ici – Alain Lasverne, Auteur de Sète son recueil de poésies sur la guerre

Diffusion : vendredi 16 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invité : Alain Lasverne est un Auteur de Sète, il vient nous présenter un recueil de poésies sur la guerre.

 

Alain Lasverne est né en 1954, il écrit régulièrement depuis 1989 des nouvelles, des poésies et des romans.
Il a passé sa jeunesse dans le Sud-Ouest, après diverses tentatives en tant que Représentant, Formateur en insertion ou Pigiste pour la Gazette des Communes et autres, il est remonté vers le Nord à l’âge de trente-trois ans pour travailler comme instituteur dans le département des Yvelines.
Cet auteur vient de sortir un recueil de poésies sur la guerre « Si la guerre ne meurt »

Alain Lasverne sur internet

De quoi doit parler la poésie ?

Alain Lasverne
De quoi, de moi, de qui, du vide, de toi, de personne…
La poésie est un langage qui n’a pas à parler. Parler c’est faire chronologie, dialogue, exposé, propos, conférences, insultes, dithyrambe…
Du temps, de se donner le temps, de n’avoir plus le temps. Le temps même de s’entendre, de s’écouter gémir en regardant l’ailleurs des signes. L’ailleurs de la communication, la matière, le réel, la chose qui ne cède pas quand on veut la traverser. La chose qui est moi, et pourtant elle se délite, s’écroule par endroit, mais justement parce qu’elle s’écroule, c’est moi et ça résiste, ça écrit.

D’abord dire que la poésie parle. La poésie utilise les mots et autres fragments de langue pour dire l’aura de la langue, l’au-delà des mots. Au-delà, infra verbal ou ultra-verbal. La poésie traduit les mots.
Si je dis « chapeau », par exemple – pour l’introduire dans un poème et le mettre en relation avec le vent qui emporte tous les chapeaux que nous croyions bien arrimés – l’intention poétique cherchera l’aura du chapeau, qui n’est pas exactement le double sens, les sens accolés au signifié de base, l’objet à mettre sur une tête.
La poésie, à mon idée, détache d’abord le chapeau des chaînes de causalités, de synonymie et autres corrélations à la fois syntaxique et sémantiques habituelles, courantes, obligées.
Le chapeau redevient une matière porteuse, peut-être, d’un sens nouveau et véritable. Nouveau. Le chapeau n’est plus une expression figée « chapeau ! », ou terme d’une expression figée plus large « chapeau l’artiste ! ». Le chapeau reprend une liberté, celle de s’associer, ou pas, librement à d’autres mots, signes, sens.
Véritable. Le poète peut laisser vernir l’aura du chapeau. Le son, le rythme qu’il entend uniquement. Lui et personne d’autre, aujourd’hui, comme hier. Le chapeau lui parle. Lui, parle le chapeau.
Il parlera, quelque chose, montant de son intérieur se fixera sur le chapeau. Ce quelque chose, c’est peut-être l’inconscient, ou des forces limbiques datant d’avant la parole, quand il fallait faire signe de tout son être muet. Très vieux, ou très profond, ou les deux. Et qui vient s’adapter à l’évolution dernière de l’humain, la parole. Ce qui n’est peut-être pas la dernière évolution.
Ce qui importe, à mes yeux, c’est-à-dire ce que je ressens, est une onde de son/sens qui avance en gonflant les mots de ce qui fait leur humanité. Une profération organique, un pas dépourvu de direction. L’artefact poétique est déposé directement depuis le sensible humain, quand ça marche. Il y a tellement de couches à franchir. Toutes les couches déposées par la socialisation. Couches résistantes et en même temps semées, formées de langage, incarnées dans et par le langage.
C’est une lutte pour revenir à la parole, que mène le poète. Une parole en son temps, et au-delà du temps, qui pioche dans les coudes sédimentaires, le biologique trans-générationnel, le culturel historique, et autre chose qui ressort de la magie de la langue en acte, telle qu’elle se déroule dans nos bouches, nos têtes, et se dépasse elle-même dans son propre mouvement.

De quoi, de qui, doit parler la poésie, alors ? Peut-être de la mélancolie. La mélancolie est une passerelle vers quelque chose qu’on regrette alors qu’il n’a pas eu le temps, l’envie, la possibilité d’exister. Il n’y a pas de mots, alors on peut dire, on peut oser dire qu’il y une vraie parole possible.
Vraie, c’est quoi ? Je cherche en ce moment de mon parcours d’écriture, entre autres, les mots pour traduire ce que je suis, sens, vis, après une éternité à courir à côté d’un événement initial majeur pour moi, l’adoption.
Entre impuissance, honte encore, honte toujours d’être sans-famille, même si j’ai eu. Dire cette chose noire qui me projette sans doute pour écrire sur tous les fronts poétiques et romanesques que j’ouvre, c’est entre parler bébé imaginaire et pleurer les familles perdues ou possibles.
La mélancolie n’existe pas. C’est un dossier vide, un applaudissement avec une main.
Je me bats en plein dans la mélancolie. Quelque chose me vient de je ne sais où, loin, un mood issu d’un passé trans-générationnel, et de ma vieillesse annoncée. Un être humain est relié dans le temps et dans l’espace par des fils dont il ne sait ni l’existence ni la solidité. Je suis persuadé de ça, au-delà de tous les récits psycho-généalogiques. Peut-être même que la poésie exprime une sorte de télépathie. Au niveau limbique. Elle parle depuis des millions d’années, peut-être. J’écris ce qui me vient d’une radio branchée sur la continuité humaine depuis les origines.
Je suis désespérément relié. Je n’arrive pas être relié à ce qui ferait lien définitivement, une parole en acte d’airain, des personnes en acier inaltérable. Ma poésie parle de ce moment où je pioche à travers le temps, c’est-à-dire à travers moi-même. Elle parle et j’écris.
Non, c’est faux, naturellement. Je ne ressens rien montant du fond des âges, je ne ressens rien qui soit d’ordre médiumnique. J’écris et les mots viennent parce que j’écris. C’est une histoire simple que d’écrire de la poésie.

Après, il y a les mots, et le choix qui s’avance dès qu’un mot s’annonce. Je l’ai dit, mon territoire c’est la mélancolie. Donc, il est grand. J’ai de quoi dire. Tout est mélancolie, ou presque.
Derrière chaque mot, chaque arrangement avec les mots, il y a un autre mot, un autre arrangement dans l’ombre, ou plutôt dans la lumière. Les doubles parfaits. Réussir, c’est attraper l’original et ce double imaginaire. On le sent, quand il y a prise.
J’ai donné de manière brouillonne ce que contient à peu près ma poésie, ce qu’elle dit, exprime, ramène. Je m’aperçois que je n’ai pas parlé de ce qu’elle doit dire.
C’est idiot comme formulation. N’importe qui peut se cabrer devant cette formule. La poésie ne doit rien, à personne. Justement, elle est poésie parce qu’elle ne doit rien.
De quoi doit parler la poésie, alors. Réponds.
Cette question m’est venue comme ça. J’avais un besoin d’impératif, de choc. Peut-être je succombais à l’envie de secouer les humeurs du lecteur. Non, ça m’est venu comme ça. Quelque chose a dit « doit ». Provocation. Pourquoi ?
Je ne suis pas assuré de ce que j’écris. Si j’étais assuré de mes écrits, je ferais des textes de. Je ne sais pas. Des essais sur des sujets bien « concrets ». Des mathématiques. Je cherche bien souvent à savoir ce que je vais dire qui puisse être dit. Pour moi, pour les autres aussi, malheureusement. On n’écrit pas pour son lecteur, on ne doit pas. L’intégrité, la farouche indépendance de la création doit être préservée. C’est une fiction sacrée.
Je m’oblige, alors. Je me pose une question qui me contraint à trouver ce que je devrais écrire. Et j’écris pour la liberté de l’inconnu qui vient. C’est angoissant d’écrire, c’est exaltant, c’est un moment où on s’oublie parce qu’on est plein de l’écriture comme si elle était soi, une vie de chair, une vie.

Alain Lasverne

Histoires de sieste…ou pas – L’histoire de l’enfant et de l’oeuf – Jean-Claude Mourlevat

Histoires de sieste…ou pas – L’histoire de l’enfant et de l’oeuf – Jean-Claude Mourlevat

 

Article Histoires de sieste
Histoire de l’enfant et l’oeuf

Diffusion : lundi 5 décembre 2022 à 13h

Rediffusion : dimanche 11 décembre 2022 à 10h30

 

L’histoire de l’enfant et de l’oeuf – Jean-Claude Mourlevat & Fabienne Teyssedre

 

Une fabuleuse épopée d’un enfant, qui traverse vaillamment les épreuves et découvre les joies de la générosité des rencontres, de la patience et de sa ténacité à rapporter à sa maman, le fameux oeuf qu’elle l’avait envoyé chercher.

Du poulailler à la maison retrouvée, en passant par le château et les chemins enneigés…l’enfant trouve en lui des trésors insoupçonnés.

Un joli récit dans la pure tradition du conte, dans lequel la malveillance des méchants vient à être déjouée par la force du courage et des belles intentions.

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur Jean-Claude Mourlevat.

Illustrations : Fabienne Teyssedre

Éditions Mango Jeunesse – janvier 2005. Collection : Petits Albums

Vivre ici – Marie Thérèse Pirolli

Vivre ici – Marie Thérèse Pirolli

Diffusion : mercredi 30 novembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invitée : Marie Thérèse Pirolli, Auteure, nous présente son livre « Le corps messager ».

 

Histoires de sieste…ou pas – Libre de Lison Vandiest

Histoires de sieste…ou pas – Libre de Lison Vandiest

 

Diffusion : lundi 21 novembre 2022 – 13h

Rediffusion : dimanche 27 novembre 2022 – 10h30

Libre, une petite fille pleine de vie qui nous emmène dans sa douce et folle journée…
Une histoire qui nous emporte loin des tracas du quotidien.

« Et si nous prenions le temps de vivre » un peu plus souvent, la vie ne serait-elle pas un peu plus douce ?

Alors prenons quelques minutes pour profiter d’un instant suspendu.

Belle écoute…

 

Avec l’aimable autorisation de l’autrice Lison Vandiest – éditions Les Filles d’Octobre – 2020

 

www.lesfillesdoctobre.com

 

Lecture par Nadège Barcelo –

Habillage sonore par Laureen Naud


Histoires de sieste…ou pas – Nina et le petit chat perdu

Histoires de sieste…ou pas – Nina et le petit chat perdu

 

Diffusion : lundi 7 novembre 13h

Rediffusion : dimanche 13 novembre 10h30

Au gré d’une balade automnale, la petit Nina va affronter peurs et mystères de la forêt, grâce à l’aide de son chat Citrouille et d’un autre inconnu…

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteure anglaise Nicola Killen –

Adaptation française de « The Little Kitten » ou « Ollie’s Lost Kitten » – Éditions Quatre Fleuves – 2020.

 

Pour découvrir l’univers de l’auteure :

www.nicolakillen.com

 

Lecture par Betty Duffour –

Habillage sonore par Laureen Naud –

Histoires de sieste…ou pas – Lumière de vie

Histoires de sieste…ou pas  –  Lumière de vie

Diffusion : le lundi 17 octobre à 13h

Rediffusion : le dimanche 23 octobre 2022 à 10h30

Lumière de vie – Création originale par Mamie Nana

Quand la rêverie entre en résonance avec les plaisirs de la découverte et des sentiments familiaux…

Dans la pénombre, Lucie observe ce rayon de lune et s’interroge.

Comment Clayton le poisson rouge, Doudou et Maman vont-ils aider la petite fille à trouver la bonne réponse ?

Lucie conte

Récit créé et lu par Taïana, alias Mamie Nana – Tous droits réservés.
Habillage sonore par Solène Bury, Laureen Naud et Betty Duffour.