Vivre ici – le Salon du Livre

Vivre ici – le Salon du Livre

Diffusion : mardi 07 Mars 2023 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invités : Danièle Gressard et Jean-Pierre Guiraud de l’Association Kaf’kali qui organise cet événement prévu le samedi 11 Mars à la Salle des Rencontres André Sambussy de Montagnac.

 

SALON DU LIVRE KAF’KALI

Samedi 11 mars prochain, le Salon du Livre « Paroles de Plumes » fêtera sa 4ème édition. Une initiative vivement encouragée par la municipalité, consciente de l’engagement constant de l’association collégiale Kaf’kali à valoriser la culture dans son village.
Rencontres avec des écrivains confirmés ou de jeunes talents de la région, rencontres avec des lecteurs de Montagnac et d’ailleurs, le Salon permet des échanges riches et multiples.
La manifestation se déroulera de 11h à 18h à Montagnac – Salle des Rencontres André Sambussy – 51, avenue Pierre Azéma (N113).
Lydie Salvayre, invitée d’honneur de ce Salon, écrivaine auteure de nombreux ouvrages dont un prix Goncourt pour « Pas pleurer » en 2014 (*), sera à n’en pas douter, une présence précieuse pour la mise en lumière de Montagnac.
Une large publicité sera faite autour de l’évènement via Radio Pays d’Hérault, la presse locale et la municipalité.
En résumé, un temps chaleureux de partage que l’association Kaf’kali souhaite de tout cœur pérenniser.
Venez nombreux !

(Danièle Gressard – Responsable de la Communication)

Pour en savoir plus → kafkali34.blogspot.com

(*) Sujet : La Retirada ou l’exil républicain espagnol d’après guerre · 1936-1939

Programme :
Dédicaces, interviews, lectures, expos, …
Animation Philippe Charleux
10h30 à 12h Rencontre du public avec les auteurs

12h Discours d’ouverture En présence de Monsieur le maire
et de la conseillère Adjointe à la Culture

12h30 à 14h Fermé au public

14h Rencontre du public avec les auteurs
15h Interview de Lydie SALVAYRE
16h Lectures d’extraits choisis

Auteurs présents :
Jeanne BASTIDE
Jean-Louis BESSIERE
Frédérique CHAMAYOU
Nathalie DI MEGLIO
Patricia DUFLOT
Jérémy FALGUIERES
Danièle GRESSARD
Jean-Pierre GUIRAUD
Marie KOCAJDA
André NOS
Joseph PARDO
Paul PARIENTE
Laurent PIGEAULT
Brigitte PRADOS
Danielle RAQUIDEL
Michèle TEYSSEYRE
Michel TORRES
Annie TSCHIRHART
Evelyne TSCHIRHART
Paul VILLEVIEILLE

Articles sur le dernier ouvrage de Lydie Salvayre qu’elle présentera au Salon du Livre le 11 mars prochain : « Irréfutable essai de successologie ».
Ou « Comment devenir un winner aujourd’hui. Un pamphlet de la lauréate du prix Goncourt 2014 qui livre sa méthode avec un humour ravageur. Flatter éhontément, mentir avec aplomb, se vanter sans vergogne de qualités imaginaires… »
« Que vaut le nouveau Lydie Salvayre ?
Avec son précédent roman « Rêver debout », la romancière restituait toute la complexité de Don Quichotte dans une lettre ouverte. Un an et demi après cet hommage magnifique, elle revient avec « Irréfutable essai de successologie » paru chez Seuil le 6 janvier 2023. À toi l’impétrant, que travaille la folle ambition d’écrire et d’être lu, nous prescrivons une cure dans les pages du très réjouissant Irréfutable essai de successologie de Lydie Salvayre. Il t’apprendra que succès et talent sont choses distinctes, qu’il est des amitiés utiles et d’autres bonnes à jeter, que les gros médias aiment les gros mots… Grâce à elle, tu livreras au feu les conseils de Rilke, tu apprendras à servir de paillasson dans les cocktails mondains en attendant ton heure de t’essuyer les pieds, et tu vénéreras les fessiers des « bookstagrammeuses » dont les oscillations sont, comme chacun sait, directement corrélées aux mouvements des palmarès. Des livres qui flattent l’élite Bref, tu seras prêt à réussir dans le milieu littéraire en écrivant des livres qui flatteront l’élite (qui a le budget et le vocabulaire pour te lire) sans trop secouer la classe moyenne (qui te verra à la télé et t’achètera pour Noël) tout en ravissant les critiques ! Précisons que cet essai parodique, avec ses rubriques, ses citations, ses conseils, son style, serait à mourir de rire s’il n’était pas si vrai ! Certes, les travers qu’il pointe sont ceux de toute société humaine atteinte par les réseaux sociaux et toquée de célébrité. Mais ils produisent un bel effet de contraste avec l’idée même de littérature, censément détachée de toute basse préoccupation. Bien sûr, à travers le milieu du livre, c’est l’époque qui se retrouve attaquée : Lydie Salvayre, comme le savent ses lecteurs, est une émule de Quichotte. Son idéalisme de bon aloi donne envie de la rejoindre dans son maquis. » (Lire Magazine littéraire)

Histoires de sieste…ou pas – Le mystère des 2 dragons

Histoires de sieste…ou pas – Le mystère des 2 dragons

 

Diffusion : lundi 6 mars à 13h

Rediffusion : dimanche 12 mars à 10h30

Illustration Histoires de sieste mystère des 2 dragons

Le mystère des deux Dragons – Nane et Jean-Luc Vézinet

Dans la Chine des temps anciens, un peintre au talent réputé laisse songeur l’Empereur qui lui commande une fresque pour son palais…

Une adaptation délicatement inspirée d’un conte d’Extrême-Orient, qui ouvre sur les mystères de la création artistique.

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur Jean-Luc Vézinet.
Éditions : Albums Circonflexe
Illustrations : Virginie Grossos

 

Lecture : Betty

Habillage sonore : Laureen Naud

Histoires de sieste…ou pas – La Moufle

Histoires de sieste…ou pas – La Moufle

 

Diffusion : lundi 20 février à 13h

Rediffusion : dimanche 26 février à 10h30

Illustration Histoires de sieste la Moufle

 

 

La Moufle – Conte traditionnel russe (Ukraine)

Au coeur de l’hiver glacial, une moufle abandonnée dans la neige devient l’endroit le plus convoité des animaux de la forêt…

Mais qui pourra s’y réchauffer ?

 

Conte traditionnel russe (Ukraine)
Version des éditions Lito

 

Lecture : Betty Duffour et Laureen Naud

Habillage sonore : Laureen Naud

 

Histoires de sieste…ou pas – Renard et petit Georges – Thibault Prugne

Histoires de sieste…ou pas – Renard et petit Georges – Thibault Prugne

 

Diffusion : lundi 6 février 13h

Rediffusion : dimanche 12 février 10h30

 

Illustration renard et petit Georges

Renard et petit Georges – Thibault Prugne

Renard est futé.

Il n’a pas son pareil pour chasser les mulots…et les manger!

Jusqu’au jour où son cœur pourrait être plus grand que son appétit…

Voyons comment et grâce à quoi!

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur –
Editions Margot – 2022
Lue par Taïana alias Mamie Nana

Histoires de sieste…ou pas – Le Petit hérisson partageur

Histoires de sieste…ou pas – Le Petit hérisson partageur

 

Diffusion : lundi 16 janvier 13h

Rediffusion : dimanche 22 janvier 10h30

Illustration le petit hérisson partageur

Le petit hérisson partageur – Zemanel

Un hérisson, une pomme bien ronde et quelques amis pour renifler ce bon repas.

Découvrez cette jolie histoire tendre, croquante et invitant à une belle générosité… partagée.

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur Zemanel .

Editions Père Castor – 2010

Illustrations : Vanessa Gauthier

 

Histoire lue par Nadège Barcelo

Habillage sonore par Laureen Naud

Histoires de sieste – Les yeux du fleuve

Histoires de sieste – Les yeux du fleuve

 

Diffusion : lundi 2 janvier 2023 à 13h

Rediffusion : dimanche 8 janvier à 10h30

 

Les yeux du fleuve

Les yeux du fleuve

Qui est ce mystérieux personnage ?

Pourquoi se cache-t-il sous l’eau avec autant de précautions?

Est-ce un gentil ou un méchant ?

Découvrez l’histoire simple d’une amitié inattendue !

 

 

Création originale imaginée, illustrée et lue par Taïana Charmianger, alias Mamie Nana.

Illustration à l’aquarelle réalisée par Taïana Charmianger.

Histoires de sieste…ou pas : Le Petit Père Noël rouge de Muriel Zürcher

Histoires de sieste…ou pas : Le Petit Père Noël rouge de Muriel Zürcher

 


Diffusion : lundi 19 décembre – 13h

Rediffusion : dimanche 25 décembre – 10h30

 

Le Petit Père Noël rouge

Au détour du folklore traditionnel, la forêt des contes se livre ici à de surprenantes péripéties, au travers desquelles nos habituels protagonistes loup et mère-grand vont finalement découvrir la magie de Noël. ✨

Avec l’aimable autorisation de son autrice Muriel Zürcher et de son éditeur « Lire c’est partir » que nous remercions ici vivement.

Illustrations : Déborah Mocellin

Publié en septembre 2010

 

Lecture par Betty Duffour

Habillage sonore par Laureen Naud

 

Et pour aller plus loin :

L’autrice : https://murielzurcher.com

Les éditions  : www.lirecestpartir.fr/

 


 

Vivre ici – Alain Lasverne, Auteur de Sète son recueil de poésies sur la guerre

Vivre ici – Alain Lasverne, Auteur de Sète son recueil de poésies sur la guerre

Diffusion : vendredi 16 décembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invité : Alain Lasverne est un Auteur de Sète, il vient nous présenter un recueil de poésies sur la guerre.

 

Alain Lasverne est né en 1954, il écrit régulièrement depuis 1989 des nouvelles, des poésies et des romans.
Il a passé sa jeunesse dans le Sud-Ouest, après diverses tentatives en tant que Représentant, Formateur en insertion ou Pigiste pour la Gazette des Communes et autres, il est remonté vers le Nord à l’âge de trente-trois ans pour travailler comme instituteur dans le département des Yvelines.
Cet auteur vient de sortir un recueil de poésies sur la guerre « Si la guerre ne meurt »

Alain Lasverne sur internet

De quoi doit parler la poésie ?

Alain Lasverne
De quoi, de moi, de qui, du vide, de toi, de personne…
La poésie est un langage qui n’a pas à parler. Parler c’est faire chronologie, dialogue, exposé, propos, conférences, insultes, dithyrambe…
Du temps, de se donner le temps, de n’avoir plus le temps. Le temps même de s’entendre, de s’écouter gémir en regardant l’ailleurs des signes. L’ailleurs de la communication, la matière, le réel, la chose qui ne cède pas quand on veut la traverser. La chose qui est moi, et pourtant elle se délite, s’écroule par endroit, mais justement parce qu’elle s’écroule, c’est moi et ça résiste, ça écrit.

D’abord dire que la poésie parle. La poésie utilise les mots et autres fragments de langue pour dire l’aura de la langue, l’au-delà des mots. Au-delà, infra verbal ou ultra-verbal. La poésie traduit les mots.
Si je dis « chapeau », par exemple – pour l’introduire dans un poème et le mettre en relation avec le vent qui emporte tous les chapeaux que nous croyions bien arrimés – l’intention poétique cherchera l’aura du chapeau, qui n’est pas exactement le double sens, les sens accolés au signifié de base, l’objet à mettre sur une tête.
La poésie, à mon idée, détache d’abord le chapeau des chaînes de causalités, de synonymie et autres corrélations à la fois syntaxique et sémantiques habituelles, courantes, obligées.
Le chapeau redevient une matière porteuse, peut-être, d’un sens nouveau et véritable. Nouveau. Le chapeau n’est plus une expression figée « chapeau ! », ou terme d’une expression figée plus large « chapeau l’artiste ! ». Le chapeau reprend une liberté, celle de s’associer, ou pas, librement à d’autres mots, signes, sens.
Véritable. Le poète peut laisser vernir l’aura du chapeau. Le son, le rythme qu’il entend uniquement. Lui et personne d’autre, aujourd’hui, comme hier. Le chapeau lui parle. Lui, parle le chapeau.
Il parlera, quelque chose, montant de son intérieur se fixera sur le chapeau. Ce quelque chose, c’est peut-être l’inconscient, ou des forces limbiques datant d’avant la parole, quand il fallait faire signe de tout son être muet. Très vieux, ou très profond, ou les deux. Et qui vient s’adapter à l’évolution dernière de l’humain, la parole. Ce qui n’est peut-être pas la dernière évolution.
Ce qui importe, à mes yeux, c’est-à-dire ce que je ressens, est une onde de son/sens qui avance en gonflant les mots de ce qui fait leur humanité. Une profération organique, un pas dépourvu de direction. L’artefact poétique est déposé directement depuis le sensible humain, quand ça marche. Il y a tellement de couches à franchir. Toutes les couches déposées par la socialisation. Couches résistantes et en même temps semées, formées de langage, incarnées dans et par le langage.
C’est une lutte pour revenir à la parole, que mène le poète. Une parole en son temps, et au-delà du temps, qui pioche dans les coudes sédimentaires, le biologique trans-générationnel, le culturel historique, et autre chose qui ressort de la magie de la langue en acte, telle qu’elle se déroule dans nos bouches, nos têtes, et se dépasse elle-même dans son propre mouvement.

De quoi, de qui, doit parler la poésie, alors ? Peut-être de la mélancolie. La mélancolie est une passerelle vers quelque chose qu’on regrette alors qu’il n’a pas eu le temps, l’envie, la possibilité d’exister. Il n’y a pas de mots, alors on peut dire, on peut oser dire qu’il y une vraie parole possible.
Vraie, c’est quoi ? Je cherche en ce moment de mon parcours d’écriture, entre autres, les mots pour traduire ce que je suis, sens, vis, après une éternité à courir à côté d’un événement initial majeur pour moi, l’adoption.
Entre impuissance, honte encore, honte toujours d’être sans-famille, même si j’ai eu. Dire cette chose noire qui me projette sans doute pour écrire sur tous les fronts poétiques et romanesques que j’ouvre, c’est entre parler bébé imaginaire et pleurer les familles perdues ou possibles.
La mélancolie n’existe pas. C’est un dossier vide, un applaudissement avec une main.
Je me bats en plein dans la mélancolie. Quelque chose me vient de je ne sais où, loin, un mood issu d’un passé trans-générationnel, et de ma vieillesse annoncée. Un être humain est relié dans le temps et dans l’espace par des fils dont il ne sait ni l’existence ni la solidité. Je suis persuadé de ça, au-delà de tous les récits psycho-généalogiques. Peut-être même que la poésie exprime une sorte de télépathie. Au niveau limbique. Elle parle depuis des millions d’années, peut-être. J’écris ce qui me vient d’une radio branchée sur la continuité humaine depuis les origines.
Je suis désespérément relié. Je n’arrive pas être relié à ce qui ferait lien définitivement, une parole en acte d’airain, des personnes en acier inaltérable. Ma poésie parle de ce moment où je pioche à travers le temps, c’est-à-dire à travers moi-même. Elle parle et j’écris.
Non, c’est faux, naturellement. Je ne ressens rien montant du fond des âges, je ne ressens rien qui soit d’ordre médiumnique. J’écris et les mots viennent parce que j’écris. C’est une histoire simple que d’écrire de la poésie.

Après, il y a les mots, et le choix qui s’avance dès qu’un mot s’annonce. Je l’ai dit, mon territoire c’est la mélancolie. Donc, il est grand. J’ai de quoi dire. Tout est mélancolie, ou presque.
Derrière chaque mot, chaque arrangement avec les mots, il y a un autre mot, un autre arrangement dans l’ombre, ou plutôt dans la lumière. Les doubles parfaits. Réussir, c’est attraper l’original et ce double imaginaire. On le sent, quand il y a prise.
J’ai donné de manière brouillonne ce que contient à peu près ma poésie, ce qu’elle dit, exprime, ramène. Je m’aperçois que je n’ai pas parlé de ce qu’elle doit dire.
C’est idiot comme formulation. N’importe qui peut se cabrer devant cette formule. La poésie ne doit rien, à personne. Justement, elle est poésie parce qu’elle ne doit rien.
De quoi doit parler la poésie, alors. Réponds.
Cette question m’est venue comme ça. J’avais un besoin d’impératif, de choc. Peut-être je succombais à l’envie de secouer les humeurs du lecteur. Non, ça m’est venu comme ça. Quelque chose a dit « doit ». Provocation. Pourquoi ?
Je ne suis pas assuré de ce que j’écris. Si j’étais assuré de mes écrits, je ferais des textes de. Je ne sais pas. Des essais sur des sujets bien « concrets ». Des mathématiques. Je cherche bien souvent à savoir ce que je vais dire qui puisse être dit. Pour moi, pour les autres aussi, malheureusement. On n’écrit pas pour son lecteur, on ne doit pas. L’intégrité, la farouche indépendance de la création doit être préservée. C’est une fiction sacrée.
Je m’oblige, alors. Je me pose une question qui me contraint à trouver ce que je devrais écrire. Et j’écris pour la liberté de l’inconnu qui vient. C’est angoissant d’écrire, c’est exaltant, c’est un moment où on s’oublie parce qu’on est plein de l’écriture comme si elle était soi, une vie de chair, une vie.

Alain Lasverne

Histoires de sieste…ou pas – L’histoire de l’enfant et de l’oeuf – Jean-Claude Mourlevat

Histoires de sieste…ou pas – L’histoire de l’enfant et de l’oeuf – Jean-Claude Mourlevat

 

Article Histoires de sieste
Histoire de l’enfant et l’oeuf

Diffusion : lundi 5 décembre 2022 à 13h

Rediffusion : dimanche 11 décembre 2022 à 10h30

 

L’histoire de l’enfant et de l’oeuf – Jean-Claude Mourlevat & Fabienne Teyssedre

 

Une fabuleuse épopée d’un enfant, qui traverse vaillamment les épreuves et découvre les joies de la générosité des rencontres, de la patience et de sa ténacité à rapporter à sa maman, le fameux oeuf qu’elle l’avait envoyé chercher.

Du poulailler à la maison retrouvée, en passant par le château et les chemins enneigés…l’enfant trouve en lui des trésors insoupçonnés.

Un joli récit dans la pure tradition du conte, dans lequel la malveillance des méchants vient à être déjouée par la force du courage et des belles intentions.

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur Jean-Claude Mourlevat.

Illustrations : Fabienne Teyssedre

Éditions Mango Jeunesse – janvier 2005. Collection : Petits Albums

Vivre ici – Marie Thérèse Pirolli

Vivre ici – Marie Thérèse Pirolli

Diffusion : mercredi 30 novembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invitée : Marie Thérèse Pirolli, Auteure, nous présente son livre « Le corps messager ».