Vallée de l’Hérault. Le dialogue social est rétabli à la communauté de communes

Vallée de l’Hérault. Le dialogue social est rétabli à la communauté de communes

Reportage

Des agents de la Communauté de communes Vallée de l’Hérault avaient manifesté devant le siège, jeudi 1er juillet 2021, à Gignac. Ils étaient 27 à faire grève ce jour-là, selon la direction de la CCVH. Une cinquantaine, selon le syndicat Unsa.

 

Le président de la communauté de communes Vallée de l’Hérault, Jean-François Soto, et la vice-présidente en charge du dialogue social, Nicole Morère, ont reçu les les délégués syndicaux de l’Unsa, lundi 12 juillet 2021.

Plusieurs agents avaient manifesté à Gignac quelques jours plus tôt, jeudi 1er juillet, pour protester contre leurs conditions de travail et dénoncer des pressions sur le personnel.

Ils étaient 37 agents publics, affirme pour sa part le syndicat Unsa, qui parle même d’une cinquantaine d’agents concernés au total ; 27 agents au total selon la direction de la communauté de communes.

 

 

A l’issue de cette réunion, les élus assurent que le dialogue social existe à la CCVH. Les délégués syndicaux, eux, se disent satisfaits de la réouverture du dialogue, même s’ils précisent que les négociations sont toujours en cours.

Une nouvelle réunion entre les élus et les délégués syndicaux de la communauté de communes Vallée de l’Hérault est prévue fin juillet 2021.

 

 

Vallée de l’Hérault. Des agents en grève dénoncent des pressions à la communauté de communes

Vallée de l’Hérault. Des agents en grève dénoncent des pressions à la communauté de communes

Reportage

Trente-sept agents de la Communauté de communes Vallée de l’Hérault ont manifesté devant le siège, jeudi 1er juillet 2021, à Gignac. Ils étaient une cinquantaine à faire grève ce jour-là, selon le syndicat Unsa.

 

Une cinquantaine d’agents publics, du Service ordures ménagère, des crèches ou encore du service de l’entretien mécanique de la communauté de communes Vallée de l’Hérault a débrayé, jeudi 1er juillet 2021.

Trente-sept d’entre eux ont déployé ce jour-là une banderole devant le siège de la collectivité, parc de Camalcé.

Ces agents de catégorie C, la plus modeste de la fonction publique territoriale, demandent une augmentation de 150 € de leur salaire et dénonce des pressions faites sur les personnels.

 

 

Selon Laurent Ravel, délégué syndical Unsa de la communauté de communes Vallée de l’Hérault, les agents en sont arrivés à un point de non retour.

Ils ont obtenu un entretien avec le président de la communauté de communes Jean-François Soto, lundi 12 juillet.

 

 

A Gigean, Najima n’a pas été relogée après l’incendie de son logement social

A Gigean, Najima n’a pas été relogée après l’incendie de son logement social

Zoom Infos :

 

L’appartement dans lequel vivait Najima depuis 2008, dans la résidence des Arbousiers, à Gigean, a été partiellement détruit dans un incendie, le 29 septembre 2020.

Le feu s’est limité au hall du logement, il n’a fait aucune victime humaine. Une enquête de la gendarmerie est toujours en cours, ce mois de janvier 2021, pour déterminer les circonstances de l’incendie.

En attendant, cette habitante de Gigean de 43 ans et son fils de 14 ans ont dû se reloger en urgence ; d’abord chez sa mère, puis chez des amis…

Mais la situation s’éternise. Cela fait trois mois et demi que Najima n’a plus de logement.

Plus de trois mois après les faits, les travaux de restauration de son appartement incendié, géré par le bailleur social Hérault logement, n’ont toujours pas commencé.

Elle perd patience.

Najima était propriétaire d’un appartement de la résidence des Arbousiers, à Gigean. Il a pris feu fin septembre 2020. Depuis, elle et son fils cherchent à être relogés. (Ici, photo d’illustration de la résidence).

Contacté par nos soins, le maire de Gigean, Marcel Stoecklin, n’a pas répondu à nos sollicitations.

« Les procédures de gestion de sinistres répondent à une procédure spéciale dont nous sommes également dépendants », se défend pour sa part Hérault Logement, qui assure avoir reçu le devis mi décembre. Les travaux seraient estimés entre 40.000 et 45.000 €.